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2024 : l’année de tous les scrutins électoraux

janvier 4, 2024
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Publié le 4 janv. 2024 à 17:30Mis à jour le 4 janv. 2024 à 19:01

2024 sera une année électorale hors normes . Pas moins de 76 scrutins nationaux – législatives, présidentielles – qui vont concerner plus de 4 milliards de citoyens, mais aussi des élections municipales (Brésil, Turquie) ou régionales (Union européenne). Toutes ne seront pas égales en termes de mécanismes et de représentation démocratiques, aucune n’aura sans doute autant d’incidences que l’élection présidentielle américaine de novembre dans un contexte où les tensions géopolitiques sont prédominantes. Coup de projecteur sur huit élections à suivre cette année.

· A Taïwan, une élection sous pression

Un temps donnée grande favorite de l’élection présidentielle du 13 janvier, l’opposition conservatrice à l’actuelle dirigeante Tsai Ing-wen n’a finalement pas réussi à s’entendre sur une candidature unique pour le scrutin qui se joue sur un seul tour. Porté par le Democratic Progressive Party (DPP), l’actuel vice-président Lai Ching-te apparaît, dès lors, en mesure de devancer, sans une très grande marge, les candidats du Kuomintang – Hou Yu-Ih – et du Taïwan People’s Party (TPP) – Ko Wen-je -, qui militent tous les deux pour un réchauffement des relations avec Pékin.

Une nouvelle victoire du DPP devrait agacer le régime chinois qui revendique, avec de plus en plus d’intensité, sa souveraineté sur le pays et accuse l’actuel exécutif taïwanais d’alimenter un mouvement « séparatiste » dans l’île. Malgré sa probable victoire à la présidentielle, le DPP risque toutefois de voir son influence bridée par son résultat aux législatives, qui seront organisées le même jour. Les sondages indiquent qu’une coalition entre le Kuomintang et le TPP pourrait dominer la prochaine assemblée et empêcher l’exécutif, assez critiqué sur les questions socio-économiques, de déployer pleinement son agenda.

· En Indonésie, un nouveau président dans la continuité

Après deux mandats et dix années à la tête de l’Indonésie, le président Joko Widodo, surnommé « Jokowi » dans le pays, ne peut pas se représenter au scrutin présidentiel du 14 février prochain. Mais profitant d’une forte cote de popularité et d’un bilan économique plutôt positif, il apparaît en mesure d’imposer le successeur de son choix afin de poursuivre son effort de développement économique de l’archipel de 274 millions d’habitants. Le dirigeant a décidé de soutenir Prabowo Subianto, son ministre de la Défense, qui a offert le poste de vice-président à Gibran Rakabuming Raka, le fils aîné de Jokowi, actuellement maire de Surakarta, le bastion historique de la famille. Les deux hommes devraient s’imposer assez largement au second tour du scrutin présidentiel et disposer d’une majorité au Parlement, à l’issue des élections législatives qui auront lieu à la même date.

Ancien officier des forces spéciales, accusé de multiples violations des droits de l’homme au cours d’opérations menées entre les années 1970 et 1990, Prabowo Subianto n’est entré en politique que dans les années 2000 avec son parti Gerindra (Great Indonesia Movement Party). S’il avait fait campagne contre Jokowi, en 2014 et en 2019, sur un agenda très populiste, il a adouci son discours après avoir intégré le gouvernement il y a quatre ans. Se présentant en candidat de la stabilité, il s’est engagé à soutenir les grands projets lancés par Jokowi, notamment la pharaonique relocalisation de la capitale ainsi que les grands chantiers d’infrastructures, telles que la ligne de train à grande vitesse reliant Jakarta à Bandung.

· En Russie, un pouvoir qui s’enracine grâce à la guerre 

C’est la présidentielle la moins incertaine de l’année, à égalité avec celles prévues chez le voisin biélorusse ou au Rwanda. La seule incertitude au scrutin du 17 mars en Russie portera sur le niveau de l’abstention, que les autorités auront loisir de réduire par les classiques « techniques administratives », et l’ampleur du triomphe de Vladimir Poutine. Il s’agira de montrer que les Russes se rallient massivement autour du drapeau et sont encore plus satisfaits qu’il y a cinq ans.

Deux adversaires, ou comparses, seront sans doute autorisés à concourir, les représentants du parti nationaliste LDPR et du Parti communiste. Le régime ne fait même plus semblant de tolérer pluralisme et débat, puisque toute critique de la guerre, voire du pouvoir, vaut un prompt emprisonnement. La guerre avec l’Ukraine a spectaculairement fait revenir la Russie à l’ère soviétique. Vladimir Poutine, 72 ans, arrivé au Kremlin en 1999, a fait modifier la Constitution en 2020 pour rester au pouvoir jusqu’en 2036.

· Washington, Tokyo et Pyongyang guettent les législatives sud-coréennes

Washington, Tokyo, Pékin et Pyongyang vont scruter de près, en avril 2024, les élections législatives sud-coréennes. Depuis l’élection en 2022 du président conservateur Yoon Suk-yeol, les gouvernements américain et japonais profitent d’un alignement diplomatique robuste avec l’exécutif sud-coréen. Les dirigeants coréens et japonais se reparlent, après des années de brouille, et partagent, en accord avec l’administration Biden, une stratégie de fermeté vis-à-vis des régimes de Kim Jong-un et de Xi Jinping . Les alliés de Séoul s’inquiètent toutefois de la paralysie du pouvoir coréen.

L’assemblée nationale reste largement contrôlée par l’opposition de centre gauche, traditionnellement plus hostile à Tokyo et plus conciliante avec la Corée du Nord. Les opposants du Democratic Party, détiennent, depuis le scrutin de 2020, 168 des 300 sièges – contre 111 pour le People Power Party du président Yoon – et bloquent la plupart des textes de loi soutenus par l’exécutif conservateur. Le président dégaine, lui, les vétos pour bloquer des projets venus de la gauche ou du centre. Fait dramatique, Lee Jae-myung, le chef du Parti démocrate, a été l’objet d’une tentative d’assassinat début janvier.

A moins de cinq mois du scrutin, le parti conservateur vient de remanier sa direction pour tenter de redorer sa popularité auprès des électeurs indécis, notamment à Séoul. Quittant son poste de ministre de la Justice, Han Dong-hoon, un ancien procureur, a accepté de mener la formation présidentielle dans une campagne qui s’annonce toutefois compliquée. Selon les derniers sondages, une reprise de contrôle du Parlement par le camp du Président semble très peu probable.

· En Inde, la campagne sera dure

Si, à l’international, Narendra Modi est parvenu, à force de diplomatie, à donner à l’Inde un statut d’acteur incontournable qui pourra peser dans les rivalités qui opposent les grandes puissances – malgré les suspicions sur d’éventuels attentats politiques (de ressortissants sikhs) commandités en Amérique du Nord – la main est beaucoup moins légère dans le pays.

En mai et juin, les Indiens sont appelés aux urnes et les opposants politiques, comme les minorités, en font les frais pour préparer le terrain à une nouvelle victoire du BJP, le parti du Premier ministre. La répression est notable contre les élus du Parlement – avec suspension et renvois de certains – à l’instar de Rahul Gandhi , petit-fils d’Indira Gandhi, très critique sur les liens du Premier ministre avec l’homme d’affaires milliardaire Gautam Adani.

Ce dernier est à l’origine du plus grand scandale financier en Inde après des accusations de manipulations comptables. En même temps, Narendra Modi a poursuivi une politique active pour s’attirer les faveurs des plus démunis en multipliant les aides six mois avant les élections. Des stratégies qui devraient s’avérer payantes même si une certaine lassitude s’exprime face à un dirigeant au pouvoir depuis 2014.

· Désamour croissant pour l’ANC en Afrique du Sud

Au pouvoir sans discontinuer depuis trente ans, l’ANC, le parti de Nelson Mandela – leader emblématique de la lutte contre l’apartheid décédé en 2018 -, est menacé de perdre sa suprématie incontestée lors des élections générales qui devraient se tenir entre le mois de mai et le mois d’août prochains. Il est vrai que son bilan est accablant tant en matière de corruption, de chômage, de criminalité, que de pénurie d’électricité. L’ANC n’est plus crédité « que » de 46 à 48 % des voix, contre 57 % lors des législatives de 2019 où il avait raflé 230 sièges sur 400 au Parlement.

Le parti a toutefois renouvelé sa confiance à Cyril Ramaphosa, l’actuel Premier ministre, pour mener la bataille des élections. Ce dernier devrait être en position pour être reconduit par le Parlement, mais il sera sans doute contraint à chercher des partenaires de coalition. L’élection sera très suivie sur le continent africain, où 37 élections se tiendront cette année, car l’Afrique du Sud est à la fois membre fondateur du club des émergents plus ou moins anti-occidentaux des BRICS et demeure la deuxième économie africaine.

· En Iran, des législatives dans un contexte enflammé

Après le traumatisme subi à la suite de l’attentat, revendiqué jeudi par le groupe Etat islamique, qui a fait 84 morts le 4 janvier à Kerman, il est très difficile de prédire le climat politique et géopolitique dans lequel se tiendront les élections législatives de juin prochain dans la république islamique. L’alternance est impossible, selon les termes mêmes du fondement du régime: « velayat e faqih » en persan, « le religieux prime sur le politique ».

En clair, tout dirigeant politique ou élu doit être validé par les ayatollahs, qui contrôlent ainsi tous les rouages de l’Etat, quels que soient les voeux des électeurs. Ce qui n’empêche pas des rivalités sourdes entre les clans du régime, sous l’oeil du Guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, 86 ans, dont tout le monde s’interroge sur la prochaine succession. Les législatives de juin seront ainsi l’occasion de mesurer les équilibres entre les clans au pouvoir près de deux ans après le déclenchement de la révolte « femme, vie, liberté » contre le voile islamique, obligatoire depuis les débuts de la révolution islamique, en 1979.

Les rivalités n’opposent pas tant des conservateurs dictatoriaux et des réformateurs qui seraient plus acceptables mais les « internationalistes », défenseurs acharnés d’un interventionnisme dans toute la région censé fournir une sorte d’assurance-vie au régime, et ceux plus enclins au compromis. Nul doute que la guerre à Gaza incitera ces derniers à durcir leur propre discours.

· Le monde suspendu à la présidentielle américaine

Rarement les résultats d’une élection américaine auront été attendus avec autant de fébrilité. Elu en novembre, le futur hôte de la Maison-Blanche prendra les rênes en janvier prochain dans un environnement géopolitique toujours en surchauffe. Du choix des Américains dépendront le maintien du soutien à l’Ukraine, à l’Otan, et l’adoption d’une approche des conflits au Moyen-Orient qui sera décisive pour la suite.

Pour les électeurs, le choix revient entre un Donald Trump toujours aussi abrasif, désireux de prendre sa revanche face à un Joe Biden désavantagé par son âge, mais porteur d’un bon bilan économique, convaincu qu’il est le seul à pouvoir battre l’ancien magnat de l’immobilier.

Le premier veut vider le gouvernement fédéral de sa substance en rendant davantage de pouvoir aux Etats, achever sa mainmise sur le pouvoir judiciaire et assumer un isolationnisme protectionniste triomphant. Le président Joe Biden se voit en rempart et veut « finir le job » qui redonnera la prospérité aux classes moyennes.

La course à la présidentielle sera davantage animée par les batailles juridiques portées contre ou par Donald Trump, que par les primaires du printemps, où la républicaine Nikki Haley tente une percée, avec le scrutin de 2028 dans le viseur.

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